
Jardin
Ce n'est que récemment que la ville de Casablanca a décidé de reprendre les choses en main en lançant un programme de restauration des jardins historiques de la ville. Hormis Murdoch, quatre autres espaces sont concernés, à savoir les parcs de l'Hermitage, Belvédère, la Ligue arabe et Zerktouni.
Replantation, installation de clôtures, équipements et infrastructures d'arrosage sont autant de travaux prévus par la commune. Grâce à ce programme, qui couvre la période 2005 à 2009, le parc Murdoch a déjà bénéficié d'une mise à niveau qui a fait le bonheur des riverains. Ces derniers se réjouissent, d'une part, de l'amélioration de leur cadre de vie et, d'autre part, de la résolution des problèmes de sécurité. «Le jardin, non surveillé, constituait un refuge pour les ivrognes et les voleurs…», indique une habitante du quartier 2 Mars.
La restauration du jardin bénéficie actuellement d'un budget provisoire de plus de 2 millions de DH. L'installation de la clôture et des infrastructures de base a coûté à elle seule plus de 1,5 million de DH.
Tous les travaux devraient être achevés fin juillet, selon les responsables du projet.
Toutefois, l'ambition de Mohamed Sajid, maire de Casablanca, est plus grande qu'une simple restructuration. Pour les jardins de Casablanca, le maire veut garantir une animation permanente, question de renforcer leur fréquentation. Il explique que plusieurs mesures seront prises dans ce sens via l'installation d'ateliers d'artistes, de bornes d'Internet et de matériels informatiques en plein air.
Question maintenance et surveillance, Sajid affirme que la ville est en train de négocier avec des sociétés d'entretien et de gardiennage afin de prévenir la détérioration de ce précieux patrimoine.
A la question de savoir si la commune compte aménager de nouveaux espaces verts, puisque ceux dont dispose la ville actuellement restent en deçà des besoin, le maire affirme que c'est une action prévue sur le long terme. «Nous ne pouvons pas lancer les deux chantiers à la fois. Nous avons choisi de revaloriser l'existant dans un premier temps avant de chercher à acquérir de nouveaux espaces». Il faut dire que cette tâche pourrait s'avérer d'une extrême complexité vu la crise du foncier que connaît la métropole.
Replantation, installation de clôtures, équipements et infrastructures d'arrosage sont autant de travaux prévus par la commune. Grâce à ce programme, qui couvre la période 2005 à 2009, le parc Murdoch a déjà bénéficié d'une mise à niveau qui a fait le bonheur des riverains. Ces derniers se réjouissent, d'une part, de l'amélioration de leur cadre de vie et, d'autre part, de la résolution des problèmes de sécurité. «Le jardin, non surveillé, constituait un refuge pour les ivrognes et les voleurs…», indique une habitante du quartier 2 Mars.
La restauration du jardin bénéficie actuellement d'un budget provisoire de plus de 2 millions de DH. L'installation de la clôture et des infrastructures de base a coûté à elle seule plus de 1,5 million de DH.
Tous les travaux devraient être achevés fin juillet, selon les responsables du projet.
Toutefois, l'ambition de Mohamed Sajid, maire de Casablanca, est plus grande qu'une simple restructuration. Pour les jardins de Casablanca, le maire veut garantir une animation permanente, question de renforcer leur fréquentation. Il explique que plusieurs mesures seront prises dans ce sens via l'installation d'ateliers d'artistes, de bornes d'Internet et de matériels informatiques en plein air.
Question maintenance et surveillance, Sajid affirme que la ville est en train de négocier avec des sociétés d'entretien et de gardiennage afin de prévenir la détérioration de ce précieux patrimoine.
A la question de savoir si la commune compte aménager de nouveaux espaces verts, puisque ceux dont dispose la ville actuellement restent en deçà des besoin, le maire affirme que c'est une action prévue sur le long terme. «Nous ne pouvons pas lancer les deux chantiers à la fois. Nous avons choisi de revaloriser l'existant dans un premier temps avant de chercher à acquérir de nouveaux espaces». Il faut dire que cette tâche pourrait s'avérer d'une extrême complexité vu la crise du foncier que connaît la métropole.