
Salman Rushdie
India, une jeune femme aux yeux verts, vit à Los Angeles, où son père, un ancien ambassadeur franco-américain, la rejoint pour fêter avec elle ses 24 ans. Mais son chauffeur, Shalimar, l’assassine sauvagement devant les yeux de sa fille. Qui est son meurtrier? La vérité part à la recherche du souvenir, dans le paradis perdu du Cachemire où des acrobates marchaient dans les airs comme sur des tapis volants, où des cuisiniers organisaient des banquets sublimes et où un magicien, pour les protéger des attaques des hordes venues du Pakistan, faisait disparaître d’un coup de baguette magique les mythiques jardins de Shalimar. Un chant d’enfance violent et nostalgique, réaliste et flamboyant.< I>
«Shalimar le clown», par Salman Rushdie, traduit de l’anglais par Christophe Claro, Plon, 444 p., 22 euros (en librairie le 6 octobre).
«Shalimar le clown», par Salman Rushdie, traduit de l’anglais par Christophe Claro, Plon, 444 p., 22 euros (en librairie le 6 octobre).