Ces experts jugent indispensable de "faire respecter l'interdiction de nourrir les pigeons et les oiseaux dans les parcs et espaces publics" et d'"assurer une surveillance de la mortalité des oiseaux de ces parcs, les professionnels amenés à manipuler les cadavres des oiseaux morts devant le faire avec des gants et un vêtement réservés à cet effet".
Une recherche systématique de la présence du virus devra être effectuée sur les cadavres des cygnes et canards morts ainsi que sur ceux des pigeons en cas de mortalité groupée, a précisé la directrice générale de l'Afssa, Pascale Briand.
VOLS SOUS SURVEILLANCE
Pour les pigeons, cygnes et canards des parcs publics, l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments fait observer que le degré de réceptivité de ces oiseaux au virus aviaire va décroissant selon les espèces, des cygnes aux pigeons en passant par les canards.
D'une manière générale, ses experts estiment que le risque présenté par ces animaux peut être considéré comme "nul à négligeable" selon la situation épidémiologique locale et selon la densité des élevages de volailles situés à proximité.
Pour les pigeons voyageurs, oiseaux appelés par définition à se déplacer sur de longues distances, l'Afssa rappelle qu'on ne peut exclure que ces animaux puissent véhiculer le virus aviaire. Elle recommande donc de suspendre temporaire les "lâchers de pigeons à visée sportive", mais autorise des "volées d'entraînement autour des colombiers" à la condition que ces opérations soient effectuées "sous surveillance".
En ce qui concerne les rassemblements d'oiseaux - y compris ceux des oiseaux d'ornement (perruches, perroquets, canaris...) - lors de foires, de marchés ou d'expositions, l'Afssa recommande leur interdiction pour toutes les espèces. L'objectif est de prévenir la possible diffusion du virus lors de ces rencontres.
Une recherche systématique de la présence du virus devra être effectuée sur les cadavres des cygnes et canards morts ainsi que sur ceux des pigeons en cas de mortalité groupée, a précisé la directrice générale de l'Afssa, Pascale Briand.
VOLS SOUS SURVEILLANCE
Pour les pigeons, cygnes et canards des parcs publics, l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments fait observer que le degré de réceptivité de ces oiseaux au virus aviaire va décroissant selon les espèces, des cygnes aux pigeons en passant par les canards.
D'une manière générale, ses experts estiment que le risque présenté par ces animaux peut être considéré comme "nul à négligeable" selon la situation épidémiologique locale et selon la densité des élevages de volailles situés à proximité.
Pour les pigeons voyageurs, oiseaux appelés par définition à se déplacer sur de longues distances, l'Afssa rappelle qu'on ne peut exclure que ces animaux puissent véhiculer le virus aviaire. Elle recommande donc de suspendre temporaire les "lâchers de pigeons à visée sportive", mais autorise des "volées d'entraînement autour des colombiers" à la condition que ces opérations soient effectuées "sous surveillance".
En ce qui concerne les rassemblements d'oiseaux - y compris ceux des oiseaux d'ornement (perruches, perroquets, canaris...) - lors de foires, de marchés ou d'expositions, l'Afssa recommande leur interdiction pour toutes les espèces. L'objectif est de prévenir la possible diffusion du virus lors de ces rencontres.