
Certains tableaux de Raja Atlassi portent des noms de jardins ou de plantes. Ceci n’est pas fortuit, l’artiste est aussi jardinier. Son jardin est une œuvre conçu comme un tableau. Il oubellit aux même règles de composition que ses oeuvres.
C’est en franchissant le seuil de son petit jardin à Casablanca que l’on comprend mieux les références répétées de l’artiste au jardin et aux plantes.
A visiter ce petit jardin qui abrite l’atelier de l’artiste on comprend mieux son attachement au végétal, à l’architecture des plantes et l’enchevêtrement des feuilles et branchages. On y perçoit encore mieux la palette de l’artiste avec ces gammes de vert qui lui sont propres et ces transparences de roses, des jaunes et des bleus.
C’est dans la nature et le monde des plantes que l’artiste puise son inspiration et toute la force de lumière et de couleurs de ses œuvres.
Bien que c’est la femme qui est presque toujours au centre des ses ouvres, c’est le jardin qui est l’écrin dans le quel l’artiste plante son décor et le peuple de ses personnages à l’allure princière et énigmatique. Ses jardins sont, bien entendu imaginaires et tirent leur force de l’interprétation libre que fait l’artiste de la nature. Il ne s’agit nullement ici de recopier la nature, les naturalistes savent faire ça, mais de l’interpréter selon la sensibilité de l’artiste et en cela Raja Atlassi excelle et nous ouvre les portes des jardins secrets jusqu’à lors inconnus de nous. Des édens luxuriants avec une végétations venue de l’imagination de l’artiste et qui occupe le paysage sous forme de mosaïque botanique, un peu comme un paysage kaléidoscopique reconstitué.
Ainsi chaque tableau nous fait un peu découvrir l’univers végétal de Raja Atlassi.
Au centre du tableau trône le visage d’une femme. Elle est de profil et elle semble offrir ses étoffes à l’artiste peintre jardinier qui les plante de végétaux et de fleurs. Ainsi naissent sur les plis et les draperies de la femme des paysages oniriques. De pièce en pièce, comme dans un patchwork, les paysages prennent forme sous le pinceau de l’artiste avec cette palette faite de couleurs parfois franches parfois nuancées. Chaque pièce du paysage ajoute à l’autre l’éclat de sa lumière et le camaïeu de ses couleurs.
Comme le sol de jardin fait de morceaux de feinces rassemblés avec du ciment ocre, les tableaux de Raja Atlassi offre une certaine harmonie dans leur composition qui nous ouvre de nouveaux horizons et plonge notre regard dans un univers végétal stylisé et toujours renouvelé.
C’est en visitant un jour d’automne 2009 le jardin de Raja Atlassi que j’ai commencé à mieux saisir l’architecture de ses peintures et que l’occasion me fut donnée de découvrir son univers végétal. Un univers qui revient, comme la femme dans l’ensemble de son œuvre mais à chaque fois avec un éclairage nouveau.
C’est en franchissant le seuil de son petit jardin à Casablanca que l’on comprend mieux les références répétées de l’artiste au jardin et aux plantes.
A visiter ce petit jardin qui abrite l’atelier de l’artiste on comprend mieux son attachement au végétal, à l’architecture des plantes et l’enchevêtrement des feuilles et branchages. On y perçoit encore mieux la palette de l’artiste avec ces gammes de vert qui lui sont propres et ces transparences de roses, des jaunes et des bleus.
C’est dans la nature et le monde des plantes que l’artiste puise son inspiration et toute la force de lumière et de couleurs de ses œuvres.
Bien que c’est la femme qui est presque toujours au centre des ses ouvres, c’est le jardin qui est l’écrin dans le quel l’artiste plante son décor et le peuple de ses personnages à l’allure princière et énigmatique. Ses jardins sont, bien entendu imaginaires et tirent leur force de l’interprétation libre que fait l’artiste de la nature. Il ne s’agit nullement ici de recopier la nature, les naturalistes savent faire ça, mais de l’interpréter selon la sensibilité de l’artiste et en cela Raja Atlassi excelle et nous ouvre les portes des jardins secrets jusqu’à lors inconnus de nous. Des édens luxuriants avec une végétations venue de l’imagination de l’artiste et qui occupe le paysage sous forme de mosaïque botanique, un peu comme un paysage kaléidoscopique reconstitué.
Ainsi chaque tableau nous fait un peu découvrir l’univers végétal de Raja Atlassi.
Au centre du tableau trône le visage d’une femme. Elle est de profil et elle semble offrir ses étoffes à l’artiste peintre jardinier qui les plante de végétaux et de fleurs. Ainsi naissent sur les plis et les draperies de la femme des paysages oniriques. De pièce en pièce, comme dans un patchwork, les paysages prennent forme sous le pinceau de l’artiste avec cette palette faite de couleurs parfois franches parfois nuancées. Chaque pièce du paysage ajoute à l’autre l’éclat de sa lumière et le camaïeu de ses couleurs.
Comme le sol de jardin fait de morceaux de feinces rassemblés avec du ciment ocre, les tableaux de Raja Atlassi offre une certaine harmonie dans leur composition qui nous ouvre de nouveaux horizons et plonge notre regard dans un univers végétal stylisé et toujours renouvelé.
C’est en visitant un jour d’automne 2009 le jardin de Raja Atlassi que j’ai commencé à mieux saisir l’architecture de ses peintures et que l’occasion me fut donnée de découvrir son univers végétal. Un univers qui revient, comme la femme dans l’ensemble de son œuvre mais à chaque fois avec un éclairage nouveau.