Couverture du magazine jardins du maroc N ° 15
la nature est le premier jardin de l’homme. Il n’était obligé ni de la travailler ni à l’entretenir, il lui suffisait de se baisser et ramasser les biens faits de la terre et d’escalader les arbres pour y cueillir les fruits et jouir des saveurs des plantes.
Au commencement, il ne s’agissait pas seulement d’une question de la nourriture. L’homme se nourrissait de fruits, feuilles, bulbes, graines et racines qu’il cueille dans la nature mais les plantes lui servaient déjà de médicaments pour se soigner et entretenir son corps et sa santé.
Le jardin était donc à la fois le grenier et la première pharmacie de l’homme. C’est dans cette officine à ciel ouvert qu’il puisait les remèdes et bienfaits des plantes.
Depuis, les choses n’ont pas beaucoup changé. Elles ont évolué et les plantes et jardins restent essentiels pour la santé.
Lieu de culture des plantes médicinales et aromatiques, les jardins sont aussi une source d’énergie positive pour la santé et accélère le rétablissement des malades.
Plusieurs centres hospitaliers dans le monde accordent une grande place au jardin comme lieu de contemplation, de guérison et de ressourcement indispensable pour soutenir les thérapies clas-siques.
Conscients du rôle social, éducatif et culturel du jardin, Le Magazine «Jardins du Maroc, Jardins du monde» a réservé lors de la quatrième édition du Jardin’Art 2010 un programme autour du thème «Jardin et santé» :
Une table ronde à laquelle ont participé des paysagistes, des biologistes, des nutritionnistes et des médecins a apporté un éclairage nouveau sur le rôle du jardin pour la santé de l’homme.
Dans le même sens, l’opération «Hôpital fleuri», qui a consisté en la restauration du jardin de l’ hôpital Daoud Al Antaki à Marrakech a contribué à doter le jardin de cet hôpital qui a ouvert ses portes au service de la santé publique il ya 60 ans de voir aujourd’hui son jardin restauré et doté de bans, des moyens de confort pour le bien des malades et leurs familles. A cette occasion l’administration de l’établissement hospitalier, le personnel, les malades et de nombreux bénévoles ont fait preuve de solidarité. Le but de cette opération était de permettre de faire d’un événement éphémère, tel le festival de l’art des jardins à Marrakech, l’occasion de lancer et initier des actions durables.
A En restaurant un jardin dans un milieu hospitalier à l’occasion de ce festival les organisateurs voulaient sensibiliser les responsables de la santé sur le rôle du jardin et de l’élément végétal dans la vie des patients et le personnel du milieu médical comme lieu propice à la rencontre entre patients, leurs familles et le personnel soignant.
Puissent ces quelques initiatives modestes de notre part trouver un échos et susciter d’autres initiatives à travers le royaume.
Au commencement, il ne s’agissait pas seulement d’une question de la nourriture. L’homme se nourrissait de fruits, feuilles, bulbes, graines et racines qu’il cueille dans la nature mais les plantes lui servaient déjà de médicaments pour se soigner et entretenir son corps et sa santé.
Le jardin était donc à la fois le grenier et la première pharmacie de l’homme. C’est dans cette officine à ciel ouvert qu’il puisait les remèdes et bienfaits des plantes.
Depuis, les choses n’ont pas beaucoup changé. Elles ont évolué et les plantes et jardins restent essentiels pour la santé.
Lieu de culture des plantes médicinales et aromatiques, les jardins sont aussi une source d’énergie positive pour la santé et accélère le rétablissement des malades.
Plusieurs centres hospitaliers dans le monde accordent une grande place au jardin comme lieu de contemplation, de guérison et de ressourcement indispensable pour soutenir les thérapies clas-siques.
Conscients du rôle social, éducatif et culturel du jardin, Le Magazine «Jardins du Maroc, Jardins du monde» a réservé lors de la quatrième édition du Jardin’Art 2010 un programme autour du thème «Jardin et santé» :
Une table ronde à laquelle ont participé des paysagistes, des biologistes, des nutritionnistes et des médecins a apporté un éclairage nouveau sur le rôle du jardin pour la santé de l’homme.
Dans le même sens, l’opération «Hôpital fleuri», qui a consisté en la restauration du jardin de l’ hôpital Daoud Al Antaki à Marrakech a contribué à doter le jardin de cet hôpital qui a ouvert ses portes au service de la santé publique il ya 60 ans de voir aujourd’hui son jardin restauré et doté de bans, des moyens de confort pour le bien des malades et leurs familles. A cette occasion l’administration de l’établissement hospitalier, le personnel, les malades et de nombreux bénévoles ont fait preuve de solidarité. Le but de cette opération était de permettre de faire d’un événement éphémère, tel le festival de l’art des jardins à Marrakech, l’occasion de lancer et initier des actions durables.
A En restaurant un jardin dans un milieu hospitalier à l’occasion de ce festival les organisateurs voulaient sensibiliser les responsables de la santé sur le rôle du jardin et de l’élément végétal dans la vie des patients et le personnel du milieu médical comme lieu propice à la rencontre entre patients, leurs familles et le personnel soignant.
Puissent ces quelques initiatives modestes de notre part trouver un échos et susciter d’autres initiatives à travers le royaume.