La couverture du 2iéme numéro de Jardins du Maroc
L'équipe du magazine «Jardins du Maroc, Jardins du Monde» s'est montrée très sensible à vos encouragements et compte rester attentive à vos remarques, critiques et suggestions.
Tout en gardant la ligne éditoriale annoncée et son graphisme épuré, l'équipe de «Jardins du Maroc, Jardins du Monde» continuera à développer votre magazine en créant de nouvelles rubriques et en se prévalant de l'expérience de nouveaux talents de journalistes et de photographes. De nouvelles compétences viendront enrichir sa forme, son contenu comme celles de Patrick Le Normand dans sa rubrique (conseils pratiques).
Une fois par an, «Jardins du Maroc, Jardins du Monde» vous présentera en plus des rubriques habituelles, un grand dossier consacré à un thème particulier ou à une région du Maroc. Dans ce dossier de plusieurs pages, nous tenterons d'approfondir les sujets en faisant appel à des scientifiques et à des professionnels.
Nous vous proposerons ainsi des articles informatifs au contenu détaillé mais sans jamais négliger l'esthétique de l'image ou sacrifier la qualité artistique du magazine.
Dans ce deuxième numéro de «Jardins du Maroc, Jardins du Monde» qui nous mène de Rabat à Skoura, vous découvrirez les charmes d'une oasis millénaire : Skoura. Vous y découvrirez les efforts que les hommes continuent à faire à partir de ces deux simples éléments : l'eau et la terre pour résister au désert.
Nous avons admiré leur courage et leur combat contre la sécheresse du désert, contre la fatalité, la solitude, le laisser-aller et l'exode des jeunes vers les villes, qui vide la palmeraie de Skoura de ses forces vives. Nous avons admiré aussi le travail exemplaire de la société civile pour permettre à la population de sortir de son isolement. Des efforts louables quoique timides en matière d'écotourisme démontrent qu'il est possible de concilier développement et modernité.
Précieux et fragile, l'équilibre de Skoura a été mis à rude épreuve à plusieurs reprises. Ces habitants jardiniers du désert, continuent aujourd'hui de nous étonner en creusant la terre avec de simples outils fabriqués par les forgerons de chaque village et hameau à partir de morceaux de ferraille de récupération.
Malgré les sécheresses répétitives et la chaleur qui tuent le coeur de leurs palmiers et déciment leurs troupeaux, beaucoup d'oasiens restent attachés à leur terre et la cultivent avec passion. Les jardins de Skoura nous ont étonnés par leur beauté et leur simplicité.
Comment aimer la terre marocaine sans poser un regard tendre et admiratif sur ces jardiniers du désert qui marchent sans le savoir sur les traces de Paul Pascon ? Cet homme de terrain a, depuis de longues années, observé et étudié le milieu rural marocain. Il a aussi milité pour le développement de l'agriculture au Maroc.
Paul Pascon fut un homme d'engagement et l'un des plus illustres défenseurs la campagne marocaine, Il transmit à ses étudiants, collègues, lecteurs et collaborateurs les grandes richesses paysannes et les valeurs rurales de notre pays. Son oeuvre, son action furent pour beaucoup de cadres agricoles marocains un exemple de courage et de dévouement. Son combat à été de sortir la paysannerie marocaine de son sous-développement et de l'isolement qu'elle connaissait. Il voulait que le monde rural marocain pût aussi profiter du développement du pays. Paul Pascon a compris dans les années soixante que le Maroc ne peut pas se développer sans l'évolution de sa campagne et de ses paysans.
Ses idées et ses préoccupations restent malheureusement toujours d'actualité. Puisse ce Maroc, aujourd'hui réconcilié avec lui-même et avec son passé, tirer des leçons utiles de l'expérience de Paul Pascon et de son enseignement.
Toute l'équipe «Jardins du Maroc, Jardins du Monde» vous attend sur son site www.jardinsdumaroc.com plate-forme d'échange et d'information et, au début de chaque saison, vous donne rendez-vous, pour la version papier, dans les kiosques.
Tout en gardant la ligne éditoriale annoncée et son graphisme épuré, l'équipe de «Jardins du Maroc, Jardins du Monde» continuera à développer votre magazine en créant de nouvelles rubriques et en se prévalant de l'expérience de nouveaux talents de journalistes et de photographes. De nouvelles compétences viendront enrichir sa forme, son contenu comme celles de Patrick Le Normand dans sa rubrique (conseils pratiques).
Une fois par an, «Jardins du Maroc, Jardins du Monde» vous présentera en plus des rubriques habituelles, un grand dossier consacré à un thème particulier ou à une région du Maroc. Dans ce dossier de plusieurs pages, nous tenterons d'approfondir les sujets en faisant appel à des scientifiques et à des professionnels.
Nous vous proposerons ainsi des articles informatifs au contenu détaillé mais sans jamais négliger l'esthétique de l'image ou sacrifier la qualité artistique du magazine.
Dans ce deuxième numéro de «Jardins du Maroc, Jardins du Monde» qui nous mène de Rabat à Skoura, vous découvrirez les charmes d'une oasis millénaire : Skoura. Vous y découvrirez les efforts que les hommes continuent à faire à partir de ces deux simples éléments : l'eau et la terre pour résister au désert.
Nous avons admiré leur courage et leur combat contre la sécheresse du désert, contre la fatalité, la solitude, le laisser-aller et l'exode des jeunes vers les villes, qui vide la palmeraie de Skoura de ses forces vives. Nous avons admiré aussi le travail exemplaire de la société civile pour permettre à la population de sortir de son isolement. Des efforts louables quoique timides en matière d'écotourisme démontrent qu'il est possible de concilier développement et modernité.
Précieux et fragile, l'équilibre de Skoura a été mis à rude épreuve à plusieurs reprises. Ces habitants jardiniers du désert, continuent aujourd'hui de nous étonner en creusant la terre avec de simples outils fabriqués par les forgerons de chaque village et hameau à partir de morceaux de ferraille de récupération.
Malgré les sécheresses répétitives et la chaleur qui tuent le coeur de leurs palmiers et déciment leurs troupeaux, beaucoup d'oasiens restent attachés à leur terre et la cultivent avec passion. Les jardins de Skoura nous ont étonnés par leur beauté et leur simplicité.
Comment aimer la terre marocaine sans poser un regard tendre et admiratif sur ces jardiniers du désert qui marchent sans le savoir sur les traces de Paul Pascon ? Cet homme de terrain a, depuis de longues années, observé et étudié le milieu rural marocain. Il a aussi milité pour le développement de l'agriculture au Maroc.
Paul Pascon fut un homme d'engagement et l'un des plus illustres défenseurs la campagne marocaine, Il transmit à ses étudiants, collègues, lecteurs et collaborateurs les grandes richesses paysannes et les valeurs rurales de notre pays. Son oeuvre, son action furent pour beaucoup de cadres agricoles marocains un exemple de courage et de dévouement. Son combat à été de sortir la paysannerie marocaine de son sous-développement et de l'isolement qu'elle connaissait. Il voulait que le monde rural marocain pût aussi profiter du développement du pays. Paul Pascon a compris dans les années soixante que le Maroc ne peut pas se développer sans l'évolution de sa campagne et de ses paysans.
Ses idées et ses préoccupations restent malheureusement toujours d'actualité. Puisse ce Maroc, aujourd'hui réconcilié avec lui-même et avec son passé, tirer des leçons utiles de l'expérience de Paul Pascon et de son enseignement.
Toute l'équipe «Jardins du Maroc, Jardins du Monde» vous attend sur son site www.jardinsdumaroc.com plate-forme d'échange et d'information et, au début de chaque saison, vous donne rendez-vous, pour la version papier, dans les kiosques.