M. Abderrazzak Benchaâbane :
Est Né en 1959 à Marrakech, il vit et travaille à Marrakech. Il est auteur de films documentaires sur l’art marocain et a réalisé des reportages photographiques au Maroc, Algérie, Tunisie, Libye, Egypte, Soudan, Mali, Burkina Fasso, Niger et Chili.

Principales expositions :
1981 : Semaine Culturelle – Université Cadi Ayyad - Marrakech.
1984 : Centre Culturel Français – Marrakech, Rabat.
1985 : Alliance français – Rabat.
Carrefour des livres – Casablanca.
Bibliothèque – Université Languedoc – Montpellier.
Semaine culturelle Maghrebine – Avignon
Journal Albaat – Damas, Syrie.
1987 : Librairie Omar El Khyam – Casablanca
1989 : Centre Culturel Français – Casablanca
Le corps et l’image de l’autre – Bibliothèque de Marrakech
Festival Francophonie au quotidien – France
Festival de Klibia – Tunisie
1990 : Galerie Frédiéric Damgaard – Essaouira
1991 : 1er mondial de la vidéo – Bruxelles, Belgique
Association culture et loisirs – Safi
1992 : Rétrospective, Galerie Bab Doukkala – Marrakech
1993 : Festival « Images of Africa » - Danemark.
1994 : Festival BRNO – République Tchèque.
1995 : Fondation WAFABANK – Casablanca
1995 : Médiathèque de Grenoble – France
1996 : ACL – Safi
1998 : Vues d’Afrique – Festival d’Essaouira
1999 : Images du Maroc – La Ciotat – France
1999 : Le Temps du Maroc – L’année du Maroc en France

Edition :
1987 : Le Maroc en noir et blanc – Média Presse – Rabat
1993 : Images of Africa – Collectif – Danemark
1995 : Regard sur la photographie marocaine – Fondation WAFAVANK – Casablanca
1997 : Haïk, le drapé des femmes d’Essaouira – Traces du Présent – Marrakech
1999 : Médina – Médinas – Métamorphose – Marseille – Casablanca

Même en blanc et noir, et comme cette Andalousie dont elle se souvient avec dévotion, Chaouen ne s’offre qu’avec retenue. Alors que des enfants cherchent notre regard, nous livrent leurs échanges les plus intimes, des adultes, imitant les portes et les façades de leurs demeures, se voilent diverses manières.

Ainsi Abderrazzak Benchaâbane fixe surtout, ici, des regards, des postures, et des lieux par l’invisible main du temps lentement façonnés. Son dessein : être à l’écoute de la lumière quand elle écrit, moyennant ses caprices, les oublis, les lapsus et les silences de l’Histoire.